TRADUCTION :
En mode "projectif", il vaut mieux que chaque normale sortant de la surface-base, se croise, ou se coupe avec un point sur la surface-cible. Si l'objet cible n'est pas exactement de la même taille que l'objet de base, il est facile pour de nombreux rayons de manquer la cible, et donc de ne pas aboutir; ce qui produira certains effets indésirables.
Donc, dans l'exemple, au lieu d'un petit fragment de sphère comme cible, il faut faire une sphère complète.
Au fond, en mode "non-projectif", il faut une taille identique entre surface-base et surface-cible.
Par contre, en mode "projectif", assez différent dans sa façon de fonctionner, il est préférable d'avoir un objet-cible plus large que l'objet-base. La cible pouvant être un solide constitué par plusieurs surfaces. Le mode "projectif" n'a pas besoin d'une seule surface-cible, comme un mappage de texture; donc, aucun besoin que tous les rayons lancés se croisent avec une cible unique; en guise de quoi, quelques rayons iront taper les espaces laissés vides.
Espérant que ça fait sens.
Pour le 2e exemple, avec le fichier des "5 objets":
Autre truc qui n'est pas bon avec le mode "projectif", c'est, pour la cible, d'avoir une surface trop raide avec des angles de 90°; alors, ses zones quasi-verticales vont rendre très difficiles les intersections avec les rayons venus de la base; en plus, beaucoup de rayons seront manquant.
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M'ouais... Pas sûr que l'on prenne en compte les limites d'une technique lorsqu'on est en pleine fièvre créative.
Ce n'est pourtant pas la 1ère fois que j'utilise cette fonction de "déformation", & je n'avais jamais encore rencontré ces limites. Curieux non?
Merci pour cette réponse clarinette (claire).
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